Le meilleur (et parfois le pire…) des défilés à portée de clavier pour une place en front row assurée !
Le plus chargé : Gucci
Alessandro Michele a créé l’événement depuis son arrivée chez Gucci en 2015, multipliant les surprises et les références à chaque collection. Trop, peut-être ? Cette fois-ci, il était difficile de ne pas se perdre entre les allusions à la pop-culture, la Renaissance, les années 70, la numérologie… Un labyrinthe mode dont on sort avec le tournis.
Le plus minimaliste : Prada
La reine de la mode milanaise Miuccia Prada revient avec succès à ses fondamentaux des années 90, qui vont comme un gant à la femme du printemps 2017 : de la ligne, du noir et de l’épure. Avec toutefois des touches de fantaisie et d’irrévérence dans les imprimés et les accessoires qui prouvent qu’elle n’a pas dit son dernier mot. Bravo.